UNe Librairie inséparable de L’HISTOIRE DE NOTRE COURANT
– LA BRÈCHE –

Librairie La Brèche, vers 1980 lorsqu’elle était installée impasse Guéménée – Crédit photo: Collection RaDAR

À l’origine, la librairie de la LCR faisait partie d’un projet politique global tirant les leçons de la grève générale de Mai 68 dans le sens d’une proximité de la Révolution : être autonome dans nos moyens d’expression avec une imprimerie (Rotographie), une maison d’édition un revue intellectuelle (Critique Communiste), un hebdo bientôt quotidien (Rouge)… et une librairie. La dissolution de la Ligue en 1973, l’échec du quotidien Rouge (1975-78) et plus généralement l’éloignement sine die de la Révolution ont infléchi ce projet initial dans le sens d’une prise en compte de la diversité des mouvements sociaux et de la confrontation avec les autres forces politique.

Notre librairie se veut désormais structure de Front Unique. C’est ainsi que la librairie La Brèche est née
formellement le 1 er janvier 1978 au 10 impasse Guéménée, mitoyen du musée Victor Hugo, place des Vosges à Paris, en abandonnant sa précédente appellation (Librairie Rouge). Réaffirmant sa filiation trotsko-surréaliste, elle reprend le titre de la revue éponyme d’André Breton (8 numéros parus de La Brèche, revue d’action surréaliste entre 1961 et 1965).

À l’instar de la librairie La joie de lire de Maspero, La Brèche a toujours consacré une place importante dans ses rayons à la presse de l’ensemble du mouvement ouvrier, quelles que soient ses orientations, trotskistes, maoïstes, anarchistes, féministes, seul exemple d’inclusivité complète. Notre devise : aucune idée ne nous fait peur, nous ne possédons pas Le Programme, nous y contribuons ainsi grandement.

Entrée de la librairie La Brèche, rue Taine, 2025
Crédit photo: Photothèque Rouge / Martin Noda / Hans Lucas
Espace de la librairie La Brèche à l’université d’été 2008 de la LCR, Port Leucate, Aude

Librairie de la LCR puis du NPA depuis 2009, nous persévérons, décennie après décennie. Au 27 rue Taine depuis le 1 er janvier 2000 : le meilleur des apports du mouvement ouvrier, dans toute sa diversité, nous intéresse et est à La Brèche ! En 2018, avec l’édition du Premier congrès des peuples de l’Orient 1921, le coup d’envoi de la résurrection des Éditions La Brèche est donné : plus de 20 titres au catalogue, 2 en coédition avec les éditions Syllepse, 3 en préparation.

Pour La Brèche, unifier notre appareil dans un lieu unique, à nous, avec espace pour les présentations de livres avec leurs auteurs, une surface d’exposition plus grande et plus rationnelle, un vrai espace de stockage ce n’est pas seulement une rationalisation pratique et économique, c’est dynamiser notre projet en profitant de la synergie créée par la proximité avec l’ensemble de nos moyens de communication : l’Anticapitaliste, les réseaux sociaux, Rotographie, Inprecor, la 4e Internationale.

Librairie La Brèche, rue Taine, 2025
Crédit photo: Photothèque Rouge / Martin Noda / Hans Lucas

Alors, grâce à vous, La Brèche à Montreuil, à deux pas du siège de la CGT, c’est possible !

Librairie La Brèche, vers 1980 lorsqu’elle était installée impasse Guéménée – Crédit photo: Collection RaDAR

À l’origine, la librairie de la LCR faisait partie d’un projet politique global tirant les leçons de la grève générale de Mai 68 dans le sens d’une proximité de la Révolution : être autonome dans nos moyens d’expression avec une imprimerie (Rotographie), une maison d’édition un revue intellectuelle (Critique Communiste), un hebdo bientôt quotidien (Rouge)… et une librairie. La dissolution de la Ligue en 1973, l’échec du quotidien Rouge (1975-78) et plus généralement l’éloignement sine die de la Révolution ont infléchi ce projet initial dans le sens d’une prise en compte de la diversité des mouvements sociaux et de la confrontation avec les autres forces politique.

Notre librairie se veut désormais structure de Front Unique. C’est ainsi que la librairie La Brèche est née
formellement le 1 er janvier 1978 au 10 impasse Guéménée, mitoyen du musée Victor Hugo, place des Vosges à Paris, en abandonnant sa précédente appellation (Librairie Rouge). Réaffirmant sa filiation trotsko-surréaliste, elle reprend le titre de la revue éponyme d’André Breton (8 numéros parus de La Brèche, revue d’action surréaliste entre 1961 et 1965).

Espace de la librairie La Brèche à l’université d’été 2008 de la LCR, Port Leucate, Aude

À l’instar de la librairie La joie de lire de Maspero, La Brèche a toujours consacré une place importante dans ses rayons à la presse de l’ensemble du mouvement ouvrier, quelles que soient ses orientations, trotskistes, maoïstes, anarchistes, féministes, seul exemple d’inclusivité complète. Notre devise : aucune idée ne nous fait peur, nous ne possédons pas Le Programme, nous y contribuons ainsi grandement.

Entrée de la librairie La Brèche, rue Taine, 2025
Crédit photo: Photothèque Rouge / Martin Noda / Hans Lucas

Librairie de la LCR puis du NPA depuis 2009, nous persévérons, décennie après décennie. Au 27 rue Taine depuis le 1 er janvier 2000 : le meilleur des apports du mouvement ouvrier, dans toute sa diversité, nous intéresse et est à La Brèche ! En 2018, avec l’édition du Premier congrès des peuples de l’Orient 1921, le coup d’envoi de la résurrection des Éditions La Brèche est donné : plus de 20 titres au catalogue, 2 en coédition avec les éditions Syllepse, 3 en préparation.

Librairie La Brèche, rue Taine, 2025
Crédit photo: Photothèque Rouge / Martin Noda / Hans Lucas

Pour La Brèche, unifier notre appareil dans un lieu unique, à nous, avec espace pour les présentations de livres avec leurs auteurs, une surface d’exposition plus grande et plus rationnelle, un vrai espace de stockage ce n’est pas seulement une rationalisation pratique et économique, c’est dynamiser notre projet en profitant de la synergie créée par la proximité avec l’ensemble de nos moyens de communication : l’Anticapitaliste, les réseaux sociaux, Rotographie, Inprecor, la 4e Internationale.

Alors, grâce à vous, La Brèche à Montreuil, à deux pas du siège de la CGT, c’est possible !